RORONOA ZORO : CHAPITRE 2

Zoror et Izayoï descendirent jusqu'à l'entrée du cylindre. Ce dernier était bloqué par une énorme double porte de pierre scellée gravés de multiples runes.

[Izayoï]

-Nous y voilà.

J'essaie de lire les runes, si je n'y arrive pas moi même, je demande à Izayoï si il comprend.

J'essaie de lire les runes, si je n'y arrive pas moi même, je demande à Izayoï si il comprend.

Zoro s'approcha de la porte pour examiner les runes mais il ne parvenait pas à les déchiffrer.

[Izayoï]

-Cit gît la dépouille mortelle d'un sauveur sacrifié.
Qui que vous soyez, quoi que vous soyez,
de quelques univers vous pouviez venir.
Si aujourd'hui ces mots vous pouvez lire,
c'est grâce au sacrifice qui en ce lieu repose.
Le respect dans vos pas, en ces murs s'impose.

Dit-il sans même que Zoro ne le lui demande.

Après qu'Izayoï ait traduit, je tente d'ouvrir la porte.

La porte ne disposait d'aucunes poignée ou d'aucuns système d'ouverture apparent.

[Izayoï]

-Ce temple est resté fermer durant des milliers d'années. Il doit-y- avoir un moyen pas très commun de l'ouvrir.

- Peut être y-a-t-il un mécanisme... En quelle langue était-ce écrit?

Dis-je en fouillant la porte et aux abords pour trouver de quoi l'ouvrir.

[Izayoï]

-La langue originelle, le premier dialecte qui donna ensuite naissance au draconien, au céleste et à l'abyssal.

Zore ne trouva aucuns mécanisme ou système d'ouverture apparent. De plus le froid ambiant et le vent glacial qui soufflait par intermittence commençait à lui glacé les os.

[Izayoï]

-Tu pense qu'il suffirait de parler dans la même langue ?

Izayoï prononça alors quelques mots incompréhensibles pour Zoro mais la porte resta complètement fermée.

- Etant le temple de l'Avatar des Dragons, le draconique pourrait suffire.

J'essaie donc de parler dans la langue, disant simplement "Ouvre toi".

Aux paroles de Zoro, les portes de pierres se mirent à tremblé et commencèrent lentement à s'ouvrir vers l'intérieur dans un frottement de roche. Les portes dévoilèrent un couloir sombre.