RORONOA ZORO : CHAPITRE 2

Je range le parchemin dans son étui.
Je ramasse le bracelet en or, le pommeau d'épée en jais, l'opale de feu fixée à une chaine d'or et l'épée bâtarde que je range.

- Un de ces objets peut avoir une propriété magique nous permettant d'avancer dans les futures salles. Continuons.

Dis-je en avançant vers le chemin.

[Izayoï]

-Donnes moi le parchemin, tu n'es pas capable de le lire. Ces sorts seront peut être utile plus tard.

- Tiens.
Je lui tend l'étui à parchemin et ramasse les deux potions de soins.
- Ça aussi.
Je les range dans mon sac à dois avant de me diriger vers la prochaine porte.

Zoro emprunta le passage au nord jusqu'à atteindre le première porte qui se trouvait après quelques mètres sur la droite.

Cette dernière était aussi imposante et impressionnante que les précédentes.

[Izayoï]

-La voie du rubis... c'est donc la troisième porte scellée.

J'inspecte la porte pour voir si elle est piégée. Si je ne décèle rien, j'en profite pour écouter et tenter d'entendre ce qu'il peut se trouver de l'autre côté (des bruits de créatures qui se déplacent, des bruits de pas etc) avant d'entre-ouvrir délicatement la porte.

Zoro ne détecta aucuns son provenant de l'autre coté de la porte et ne repéra aucuns mécanismes piégé. Il essaya ensuite de l'ouvrir mais cette dernière restait solidement fermée.

[Izayoï]

-Bloquée aussi... je m'y attendait.

Je cherche un orifice qui serait susceptible d'accueillir un des objets que nous venons de ramasser comme clé.

Zoro ne découvrit aucunes correspondance entre les quelques interstices qui ornait la porte et un objet qu'il avait en sa possession.

[Izayoï]

-Je ne pense pas qu'on puisse ouvrir ces portes d'une manière mécanique. Allons voir derrière cette autre porte, le gardien à dit que nous n'avions que trois portes scellées à ouvrir, ça veut dire que cette dernière n'en fait pas partie.

Dit-il en désignant l'autre double porte au bout du couloir, au nord.

Je me dirige vers la porte métallique et répète le processus que je viens de faire en inspectant la porte.

Zoro inspecta l'autre porte qui en dehors de sa taille ne ressemblait en rien au précédentes. Elle n'arborait aucune décoration ou inscription et disposait de deux grosses poignées bien visible.

Zoro ne remarqua aucuns mécanisme piégés ni même de verrouillage.