- Alors...
Je prend une inspiration.
- Il existe trois grandes races, les anges dans le plan céleste, les démons dans le plan démoniaque (logique) et les dragons dans le plan matériel. Dans chaque plan des humains existent, mais par exemple sur Céleste ils sont dirigés par les anges, dans le plan matériel les dragons ont préférés se tenir à l'écart des humains. Ce n'est donc pas si étonnant qu'il y ai un conclave, un roi des dragons et tout le reste, sans que tu n'en saches rien.
Je marque une légère pause.
- Pour cette histoire de pilier, il existe des créatures nommées les ténébreux, qui créent le chaos et détruisent tout sur leur passage, il y a très longtemps les trois grandes races se sont alliées pour les enfermer et mettre fin à la menace qu'ils représentaient. Pour ce faire ils ont créés trois piliers, un pour chaque race, qui soutiennent Rokugan, qui est en quelque sorte leur verrou. Pour protéger ces piliers trois humains furent choisis sur le plan matériel, leurs pouvoirs se transmettent à chaque génération, lorsque l'un d'entre eux meurt, un enfant naît avec ces pouvoirs, ces humains sont nommés les avatars, je suis moi-même l'un d'entre eux, plus précisément l'avatar des anges. Normalement nos pouvoirs sont latents, mais Ivellios ayant décidé de libérer les ténébreux pour pouvoir créer un nouveau monde, dont il serait le maître incontesté, nos pouvoirs se sont éveillés pour nous permettre de protéger Rokugan. C'est pourquoi il veut détruire les piliers, il a réussi à en détruire deux, dont l'un grâce à ce Nephilim aux cheveux blancs, qui est un disciple d'Ivellios sans vraiment en être un puisque, selon ce qu'on m'a dit, il ne le sert pas vraiment mais l'aide parfois. Les dragons ont donc organisé la résistance contre Ivellios. Je ne sais pas vraiment en quoi une prêtresse l'aiderait à atteindre son but, mais cela semble être le cas, c'est pourquoi Bahamut, le seigneur des dragons, nous a envoyés là-bas, pour voir de quoi il en retournait et si ta sœur est vraiment prisonnière d'Ivellios, pour la libérer.
Je m'interrompt.
- En résumé c'est ça.