ESKARYNA : CHAPITRE 3

[Selinda]

-La reine des diable ?! 

[Sawao]

-Et pas seulement, on connait également le roi des dragons. D'ailleurs, le père d'Anwynn siégeait avant au conseil des dragons. 

Selinda avait l'air complètement abasourdis par ces révélations. Elle se tourna vers Anwynn avec des yeux emplis d'étonnement.

[Selinda]

-Ta famille est géniale !! 

[Anwynn]

-Oui je sais !! Dit-elle en riant.

Je ris.

- Nous avons aussi rencontré le Créateur avec Sawao, Yoldrasiir et Amaranthe. C'est l'entité qui est à l'origine de tout, y compris des dieux.

[Selinda]

-Mais vous avez fait quoi il-y-à quinze ans ?

- C'est un peu compliqué à résumer. Rokugan, notre ancien continent était en fait une prison enfermant des créatures, les ténébreux. Qui avaient été enfermées par les dragon, les anges et les démons il y a très longtemps. Ivellios un mage s'était mis en tête de les libérait, ce qui menaçait toute forme de vie sur tous les plans. Avec un groupe d'humains nous travaillions pour les dragons pour empêcher Ivellios de les libérer. Voilà pourquoi nous avons vécu pas mal d'aventures. Finalement nous avons réussi à anéantir les ténébreux mais notre ancien continent s'est effondré.

[Selinda]

-Ca arrive vraiment pour de vrai ce genre de chose...

- Et encore si tu savais... En fait Ivellios était contrôlé par une entité beaucoup plus puissance supérieure aux dieux appelée le Rédempteur.

Je souris.

- C'était un beau bazar. Et toi Selinda comment as tu rejoins la guile des voleurs ?

[Selinda]

-Parce qu'ils étaient les seuls à ne pas me rejeter. Je ne connais pas mes parents, ils m'ont abandonnés quand j'étais petite, je vous laisse imaginer pourquoi. Dit-elle en désignant les cornes sur sa tête. 

- A ce que j'en sais, mes parents m'ont abandonnés sur les rivières d'évacuation des égouts de la ville. J'ai été sauvée par un paladin à en croire ce qu'on m'a raconter au temple.

- Mais d'où viennent ces cornes ? Tes parents n'avaient pas les mêmes ?

[Selinda]

-Je ne sais pas, mais je suppose que non sinon ils ne m'auraient pas abandonnés. La seule chose que m'on dit les prêtres, c'est que le sang des diables coule dans mes veines.

Je hausse les épaules.

- Je suis sûre qu'ils n'ont jamais vu de vrai diable dans leur vie.