Grazel ouvrit alors très légèrement la gorge du croisé de facon à provoquer une grave hémorragie.
Puis il rangea son katana.
-Voilà, nous allons continuer nôtre route en te laissant agoniser comme un chient que tu est. Ce sera long, bientôt tu t'etouffera dans ton propre sang, tu lutteras pour chaque bouffer d'air et chacune d'elle t'infligera une douleur terrible. Adieu, nous nous retrouverons en enfer.
Sur ce il tourna les talons et revint vers Etna.
-Viens, continuons nôtre route.