EREDIR

Je m'approche doucement de ces gardes.
-Bonjour messieurs pourriez vous me dire comment s'appelle ce village et si il est possible d'y rentrer.

[Garde]

-Vous êtes ici à Balthusar, village au service du grand Balthus, maitre de la citadelle. Le droit d'entrée est de deux pièces d'or.

-Deux pièces d'or, ce n'est pas donné tout de même, tenez voila vos deux pièces d'or.
Je lui tend l'argent.

Le garde empocha les deux pièces d'or.

[Garde]

-Bienvenu à Balthusar.


Puis les lourdes de porte de rondins commencèrent à s'ouvrir devant Eredir.

J'entre dans la ville et je jette un coup d'oeil pour voir si il n'y a pas une taverne dans la coin.

A peine Eredir mit-il un pied dans la ville, qu'une impressionnante foule de mendiant vinrent l'assaillir pour lui demander l'aumône.

Eredir remarqua alors que tout ces mendiant étaient de race non humaine. des elfes, des nains, des halfelins et des gnomes mais aucuns humains ne se trouvait parmi eux.

"Cette ville n'a pas l'air très gentille avec les races non-humaines".
-Tenez et faites en bon usage.
Je lance 4 pièces d'argents au milieu de la foule puis j'essaye de voir où se trouve la taverne la plus proche pour m'y diriger.

Les bien heureux qui attrapèrent une pièce laissèrent Eredir en le remerciant. Mais les autres le suivirent encore. C'est quand il s'engagea dans le village qu'Eredir fut enfinf tranquille.

Il parcourut le village mais cette dernière était totalement vide. Les boutique et la taverne, tout était fermer. Eredir retrouva tout les habitants regroupés sur la place centrale du village.

"Que se passe t'il pour que tout les commerces de cette ville soient fermés ?
Je m'approche de ce regroupement de personne et je joue un peu du coude pour entrer dans le cercle et voir ce qui si passe.

Eredir compris rapidement la scène. Devant un grand buchet flamboyant se trouvait un gibet sur lequel 4 personnes en guenilles, enchainés par les mains et portant une cagoule noire sur la tête allaient être pendus.

Les deux premier était de carrure vaguement humaine et d'après leur taille, les deux seconds était un nain et une halfeline.

A l'instant ou Eredir put voir la scène, le deuxième condamné était à genou avec le noeud coulant autour du coup et l'un des gardes autour de lui le frappait derrière la tête avec le manche de sa lance.