EUN

Eun s'attaqua à un des trois monstres te le blessa gravement au torse, lui arrachant un cri de douleur.

Emerick s'en prit à un autre monstre qu'il tua d'un coup d'épée au travers du corps.

provenant du nuage de poussière, Eun entendit une voix humaine et masculine.

[Voix]

-On est attaquer !! Battez vous !! Battez vous pour protéger la déesse !!

J'attaque de nouveau le gobelin blessé.

Eun attaqua de nouveau, éliminant son adversaire avec ce second coup.

Emerick se lança sur le troisième gobelin mais ce dernier avait récupérer un peu et esquiva de justesse l'épée du guerrier. Il empoigna ensuite sa morgenstern.

Je me positionne de sorte a encadrer le gobelin avec Emerick et l'attaque du tranchant de mon épée.

Eun s'attaqua au même adversaire qu'Emerick et lui asséna un profond coup d'épée dans la poitrine qui le transperça.

Je retire mon épée de son corps et avance en direction de là ou j'ai vu la princesse pour la dernière fois en restant sur mes gardes.

Eun, suivit d'Emerick s'engagea dans le nuage de poussière, ne pouvant y voir à plus d'un pas mais entendant les gobelins s'agiter autours d'elle et commençant à reprendre leur armes.

Je me concentre sur mon ouïe et me prépare à frapper le premier qui s'approche de trop près. Je continue à avancer dans la direction de la princesse.

Eun continua d'avancer, elle sentit la main d'Emerick se posé sur son épaule pour ne pas la perdre dans la poussière.

Après quelques secondes dans un brouillard total, le duo fini par sortir du nuage de poussière de l'autre coté de la salle, Se retrouvant devant l'autel sur lequel était toujours allongé la jeune femme qui se débattait avec véhémence dans ses entraves.

Une demi douzaine de gobelin formait une ligne de protection autours de l'autel, protégeant à la fois l'autel et le maître humain qui tenait un poignard dans sa main.

[Jeune femme]

-Emerick !! Emerick enfin vous voilà !

[Humain]

-Tais-toi mortelle !! Tu n'as pas la parole ici !!

[Emerick]

-Princesse, nous allons vous sortir de là !

Je fais un premier pas épée à la main pour évaluer la réaction du maître humain.