Nadéril et Louve s'approchèrent en restant sur leurs gardes. La porte défoncée donnait sur une petite pièce dénudée à l'exception d'une vieille chaise contre un mur. Il-y-avait trois autres portes dans cette petite salle, chacune disposant d'une fenêtre à barreaux.
L'odeur qui régnait dans la pièce était pestilentielle, sentant la mort et la maladie.
Derrière l'une des portes à barreaux se faisait entendre par intermittence, un léger bruit de chaîne raclant le sol.
[Nadéril]
-Ca m'a tout l'air d'être une prison, et occupée qui plus est. Dit-il à voix basse.