Après quelques minutes, Louve put commencer à voir le Dessarin, c'était un fleuve large d'une bonne quinzaine de mètres et un peu plus loin sur la route, il était enjambé par un pont de pierre d'allure assez solide.
Le fleuve suivait une pente assez abrupte filant vers l'ouest, la falaise perdait petit à petit de son ampleur jusqu'à ce que le court d'eau ne se jettent dans la mer.