PAFNOUTI TCHEBYCHEV

Faisant fit de l'heure tardive, je toque à la porte sans ménagement, quitte à le réveiller.

Pafnouti frappa avec force à la porte mais ses coups restèrent sans réponse.

[Gilford]

-Il doit certainement dormir.

"J'espérais qu'il en soit autrement... Allons trouver un endroit où dormir, n'importe quelle auberge fera l'affaire"

*Nous pourrions sans doute aller dans le manoir où nous avons laissé Dame Tennissa, mais comme ici nous risquerions d'être laissé sans réponse. Autant aller dans une auberge maintenant*

Si la faible luminosité offerte par la lune me le permet, j'avance dans les rues pour chercher un endroit où dormir.

Alors que Pafnouti et Gilford faisaient demi tour, ils entendirent la porte s'ouvrir derrière eux suivit de la voix à demi endormie de Pierson.

[Pierson Japaner]

-Qu'est-ce que c'est que ce boucan ?

Je me tourne vers lui calmement.

"Désolé d'arriver aussi tardivement, nous venons seulement de revenir du marais ... Nous avons ce que vous nous avez demandé ..."

*Maintenant qu'il est réveillé autant lui demander ...*

Pierson mit quelques secondes à réagir.

[Pierson Japaner]

-Vous avez... le marais ? Le marais !! Oh vous êtes revenus !! Félicitations, ils ne sont pas nombreux à pouvoir se vanter de revenir du marais en un seul morceau ! Venez, entrez donc, nous avons à discuter !

Dit-il en invitant Pafnouti et Gilford à entrer chez lui.

"Avec grand plaisir !"

Dis je agréablement surpris que son réveil ne le mette pas plus de mauvaise humeur.

Je rentre.

Pierson referma la porte derrière Pafnouti et Gilford.

[Pierson Japaner]

-C'est parfait, installez-vous dans le petit salon, j'arrive tout de suite. Dit-il en désignant un petit passage sur la gauche du couloir.

Je m'engage dans la gauche du couloir pour atteindre le salon et m'y installer.

Pafnouti et Gilford suivirent les indications de Pierson et entrèrent dans un petit salon d'accueil disposant de quelques fauteuils confortables et d'une table de basse avec une corbeille garnie de fruits frais de la saison.

Gilford s'installa dans un des fauteuil à coté duquel il déposa son arme, de façon à la garder à portée de main.

[Gilford]

-Un peu de confort après toutes ces aventures n'est pas pour me déplaire.