EREDIR - AMARANTHE : CHAPITRE 4

Le premier coup de poing d'Erédir suffit à assomer son adversaire et provoqua également un arrêt net de la charge des quatre derniers qui restèrent à environ 5m de distance en entourant le moine. 

[Garde]

-Qui... qui êtes-vous ?! Qu'est-ce que vous faites là ?!

-Enfin vous m'écoutez, comme vous pouvez le voir je ne cherche pas à vous tuer, je veux voir le maître des lieux. Celui ci a voulu me tuer moi et une jeune fille qui est sous ma protection. Donc dites lui que je l'attend et je ne vous ferez aucun mal.

Enfin vous m'écoutez, comme vous pouvez le voir je ne cherche pas à vous tuer, je veux voir le maître des lieux. Celui ci a voulu me tuer moi et une jeune fille qui est sous ma protection. Donc dites lui que je l'attend et je ne vous ferez aucun mal.

[Garde]

-Quoi ?! Tu sais où tu te trouve ici ?! C'est le domaine du seigneur Belger !! Et tu viens proférant des accusations !

Je lui lance le parchemin que j'ai récupéré plus tôt.

-Lis !

J'attend qu'il ait fini de lire pour reprendre.

-Je ne pense pas que je me sois bien fais comprendre, quand je t'ai dis de prévenir le maître des lieux ce n'était pas une question !

Je m'avance ensuite d'un pas vers lui.

Le garde prit le parchemin et le lit rapidement avant de le déchirer.

[Garde]

-Peuh !! Sornettes ! Je me fiche de tes histoires, mon travail c'est d'empêcher les intrusions dans ce domaine c'est tout !!

A ce moment, la voix d'un homme vint interrompre l'échauffourée;

[Voix]

-Et bien, et bien ! Un peu de calme s'il vous plait. Vous êtes sur une propriété privée ici.

Un homme, grand, bien coiffé, monocle à l'oeil et portant un veston de velours ocre s'approchait alors , semblant venir du manoir lui même. 

Les garde se calmèrent à son approche et le saluèrent. 

[Garde]

-Monsieur, je suis désolé mais... cet intrus à réussit à pénétrer le domaine et à attaquer plusieurs de nos hommes. 

[Homme]

-Du calme, du calme soldat. Laissez donc ce bougre s'exprimé, monsieur... ? Dit-il en s'adressant à Erédir.

-C'est très simple, lisez ceci.

Dis je en désignant du menton le parchemin déchiré.

-La famille Belger a ordonné à ce qu'on me fasse fuir de cette ville par tous les moyens. Je ne sais pas qui vous êtes mais si vous appartenez à cette famille, on risque d'avoir un problème.

[Homme]

-Je suis le chambellan du seigneur Rudigas Belger, et je vois très bien ce qu'est cette missive, c'est moi même qui l'ai écrite, sur diction du seigneur Belger évidemment. Vous êtes donc l'un de ces entremetteur qui n'ont d'autres occupations que de mettre leur nez dans des affaires qui ne les concernent pas. Croyez bien que nous regrettons la tournure qu'ont pris les événements, nous avions dans l'idée que le prévôt use de moyens plus... discrets, vous comprenez.

-Oh mais je n'ai que faire que vous soyez navré et des idées que vous vous faisiez. Le fait est que par votre faute des gens meurent d'intoxication. Alors si vous pensez pouvoir me faire peur avec de si pitoyables moyens...

Dis je en regardant les gardes autour de moi

-... vous vous trompez.

[Chambellan]

-Et que pensez-vous faire tout seul ? Vos muscles ne serviront à rien dans cette affaire, c'est quelque chose qui dépasse les manants de votre genre. Un conflit qui ne se réglera que dans les hautes sphère de notre ville où les basse gens n'ont pas voix au chapitre.