KASPAROFF

Kasparoff attrapa son marteau et sauta au travers de la fenêtre, chutant dans la terre meuble au bas de l'auberge, il se réceptionna en roulant au sol mais il lâcha son marteau dans le mouvement.

Je prrrris le marteau prrrrès de moi et prrrris une grande inspiration pendant laquelle j'en prrrrofitais pourrrr obserrrver le champ de bataille.

Kasparoff compris tout de suite que les chevaliers du dragons étaient en difficulté. Les trois chevaliers de Menshen étaient au sol avec de graves blessures et ce dernier luttait comme un lion contre un unique croisé. Un humain de presque deux mètres qui maniait une épée à deux mains. derrière lui se trouvait quatre autres croisés qui se contentaient d'observer passivement le combat.

Sans réfléchir je courrais vers l'un des quatre croisés inactifs; Je tentais de me saisir de l'un d'eux pour en faire un bouclier humain.

Voyant Kasparoff accourir vers eux, les quatre croisés dégainèrent leur arme et se mirent en garde.

[Croisé]

-Commandant !! Il-y-en à un autre qui arrive !! Un nain !!

L'homme qui affrontait Menshen leur répondit alors.

[Commandant]

-Ahah !! Je vous le laisse, amusez vous avec lui !!

Je tâchais de les garder bien dans mon champ de vision et me positionnais pour ne pas me faire encercler.

Résolu, j' attaquais le plus proche.

Kasparoff entama les hostilités avec un coup de marteau qui toucha son adversaire à la hanche. Ce dernier riposta, visant le nain à la tête avec son épée mais Kasparoff bloqua efficacement l'attaque en usant de sa targe. Deux des autres croisés attaquèrent également, Kasparoff esquiva la première lame d'un pas de coté mais la seconde passa entre les jointures de son armure et s'enfonça profondément dans ses côtes droite.

Le troisième croisé restait en retrait et commençait à se déplacer pour passer sur le coté de Kasparoff.

La douleurrr me transperrrça, un flot de sang s'écoulait de mes côtes. Je poussais un hurrrlement de bête sauvage. La blessurrre me rendait fou. Je sentis ma colère me gagner et gonflé par la haine je rrrepartis à l'assaut de plus belle, désirrrrant massacrrrer en prrrremier celui qui m'avait blessé. J'enfonçais mon pied drrroit dans le sol et pivotais d'un coup sec pour frrrapper ce derrnier à la tête.

Le coup de Kasparoff toucha le croisé de plein fouet à la tête, l'envoyant inerte à terre avec une large plaie sanglante laissant voir l'intérieur de son crâne.

Les trois autres croisés se lancèrent alors à l'attaque. Kasparoff réussit à bloquer les trois attaques de ses adversaire d'un large mouvement de son marteau.

Pendant ce temps Menshen tâchait de résister au commandant qui s'amusait en riant avec le chevalier. Ripostant à tout ses coups par de petites blessures.

Sans réfléchir, je relançais un large coup dans les cervicales du croisé le plus proche.