LA BATAILLE QUI JUGERA DE L'AVENIR DU MONDE !!

D'un geste, le créateur fit apparaître un médaillon dans les mains de Daï. Un disque d'argent sur lequel se trouvait dix symboles se trouvant également répartis en bordure du médaillon.

Chaque symbole pouvait glisser le long d'une rainure pour venir s'encastrer dans une petite encoche au centre du médaillon.

[Créateur]

-Voilà pour ton souhait. Ce médaillon te permettras de communiquer avec les neufs autres combattants contre le rédempteur ainsi qu'avec Hiérastor. Chaque symbole représente un être différent, il te suffit de glisser le symbole de ton choix au centre du médaillon pour établir un contact télépathique. Par contre, il-y-à une restriction à son utilisation, le contact doit être accepté par celui ou celle avec qui tu veux communiquer, sinon il ne s'établira pas.

[Daï]

-Super !! C'est génial !! Je vais pouvoir garder contact avec tout le monde ! Tu as vus Totor, je vais pouvoirs continuer à te parler !!

[Hiérastor]

-Content que tu es enfin trouver ton souhait, mais s'il te plait... ne m'appelle plus Totor !!

Daï se contenta de rire à la supplique du grand dracosire de bronze.

Le créateur se tourna alors ensuite vers Zoro.

[Créateur]

-Ton souhait sera exaucer.

Il appliqua le même rituel à l'arme de Zoro qui se transforma alors dans une vague de lumière aveuglante.
Le katana se transforma alors en un homme grand et de forte stature, affublé de cornes sur le sommet du crâne et d'une longue paire d'ailes de plumes noires. Il portait une armure doré lui couvrant les bras, les jambes et la base des ailes et tenait une épée à lame large dont la base évoquait l'oeil d'un dragon.



Ouvrant lentement les yeux, il regarda sa main dans laquelle il fit apparaître une flamme par magie. Resserrant le poing pour éteindre cette flamme, il tourna son regard vers Zoro.

[Izayoï]

-Merci...

- C'est moi qui te remercie pour ton aide jusqu'à lors. As-tu déjà un projet maintenant que tu possèdes un corps?

- Je pense qu'il est temps pour nous de partir également.

Je m'approche de Shinryu.

- Maitre, je vous remercierais jamais assez pour tout ce que vous m'avez appris, et fais pour moi.

Je m'incline face à lui puis me tourne vers le seigneur Bahamut.

- Seigneur Bahamut, merci à vous également. Si vous avez besoin de moi vous pourrez m’appeler à n'importe quel moment.

Shinryu rendit son salue à Erina.

[Shinryu]

-Tu n'as pas besoin de me remercier, tu as fais honneur à mon enseignement durant cette bataille.

[Bahamut]

-J'ose espérer que plus jamais nous n'aurons besoin de faire appel aux humains.

Daï salua toute l'assemblée d'un grand geste de la main.

[Daï]

-Au revoir tout le monde, au revoir Totor !!

Hyunckel salua silencieusement.

[Izayoï]

-Comme je l'ai promis, je t'accompagnerais pour t'aider et te protéger dans ce que tu entreprendras.

- Sakuretsu, tu nous emmènes ?

Je m'installe sur son dos avant d'aider Hyunckel et Daï à s'installer derrière moi.

- Au revoir tout le monde, j'espère que si nous sommes amené à nous revoir se sera dans de meilleure condition. En attendant portez-vous bien !

Je rend leur salut à ceux qui partent puis discute avec Izayoï.

- Soit. Je suis heureux que tu aies forme humaine, mais tu as laissé un grand vide. Sans compter la perte d'Akantor contre Sephiroth.
Dis je en tapotant l'endroit où je le portais en tant qu'arme.
- Je n'ai pas demandé la position d'armes au créateur, mais je compte bien en trouver une. Ceci dit, je ne connaissais que Rokugan... Tu as une idée où nous pourrions nous rendre? Le nom d'un forgeron de renom par exemple. La personne qui t'a crée?

Erina, Hyunckel et Daï montèrent sur le dos de Sakuretsu.

La créature prit alors son envol pour s'éloigner vers lest.

[Izayoï]

-J'ai été forgé par le seigneur Bahamut et ensorcelée par un dieu. Cependant, je sais où se trouve le temple du premier avatar des dragons.

La suite des aventures d'Erina dans le chapitre : ERINA : CHAPITRE 2, page 66

- On peut aller y jeter un œil, il faut bien commencer quelque part. Ou est-ce? Adranir répondra peut être à mon appel.

[Izayoï]

-Vers le nord, sur une île gelée.

Je répond à Izayoi par un simple :
- Très bien.

- Adranir!
Dis-je pour l'appeler. Je scrute les environs à sa recherche.