RAÏMA MODAL

Je referme délicatement la porte et répète l'opération sur celle située juste à gauche.

Raïma voulut ouvrir la porte juste à gauche mais cette dernière était verrouillée.

Je me dirige cette fois vers la dernière porte que je n'ai pas encore inspecté et d'où n'émanait aucun ronflement et répète l'opération.

Raïma se dirigea vers la dernière porte, alors qu'il arrivait à cette dernière, il entendit de nouveau du bruit provenant du rez de chaussé. Des bruits de pas, bien plus lourd que précédemment et accompagner de tintements métalliques.

J'entrouvre la porte afin de savoir ce qui s'y trouve tout en restant attentif au bruit provenant du rez de chaussé.

Raïma ouvrit la porte pour voir ce qui semblait être un bureau. 

Les bruits de pas en bas semblèrent se rapprocher avant de s'éloigner à nouveau.

Je me dirige vers la dernière porte que je n'ai pas inspecté et répète le processus. Je redouble de prudence, ne sachant pas si la personne qui est entré récemment s'est endormis.

Raïma ouvrit la porte qu'il avait voulu inspecter au tout début. 

Il entra alors dans une luxueuse chambre dans laquelle trônait un grand lit double à baldaquin. Une grande armoire, un secrétaire et deux tables de chevets finissaient de meublé l'endroit. 

Dans le lits, deux personnes étaient allongés et endormis. Une femme blonde d'une trentaine d'année et un homme roux d'à peu près le même age qui ronflait abusivement.

*Cela ne peut être qu'ici*

Je sors la lettre de ma poche puis, accroupis, je rentre dans la chambre et me dirige vers la table de chevet de ma cible. J'avance lentement, assurant chacun de mes pas et contrôlant ma respiration. Au moindre mouvement de la femme ou de ma cible je me stop net. Je dépose ensuite la lettre sur la table de chevet et fait demi-tour, avec toujours autant de prudence, jusqu'à sortir de la chambre.

Raïma effectua son office, déposant la lettre sur la table de chevet. Le coup endormit ne donna aucuns signe de réveil mais Raïma entendit de nouveau les bruits de pas à l'extérieur qui grimpaient les escaliers.