Raïma entrouvrit la porte pour apercevoir ce qui était une chambre à coucher, assez simplement meublée d'une armoire, d'une coiffeuse et d'un petit lit à une place d'où montait le souffle régulier d'un dormeur, un enfant à en juger par la taille de la forme allongée sous les couvertures. Le pièce ne semblait contenir ni ornements, ni objets de valeur, seulement quelques poupées posées sur la coiffeuse ou négligemment répandues sur le plancher.