PAFNOUTI TCHEBYCHEV

Dans le premier coffre, Pafnouti découvrit 100 pièces d'argent ainsi qu'une longue vue, faite d'ébène et dont les lentilles étaient maintenues par des cerclages en or.

Le second coffre, le prêtre découvrit 4000 pièces de cuivre et quatre flasques de feu grégeois.

Je prend le tout et le met dans mon sac.

Pafnouti emporta ses trouvaille dans son sac.

Je me dirige vers la porte situé sur le mur ouest, puis je l'inspecte de la même façon que les deux portes précédentes.

Pafnouti ne repéra aucuns mécanismes spécial et encore une fois, la porte ne disposait pas de serrure.

J'ouvre prudemment la porte pour voir ce qui se trouve derrière.

Pafnouti se retrouva face à une salle rectangulaire de 3m de large sur 6m de long. La pièce était remplie d'instruments de tortures, vierge de fer, chaise de supplice et autres joyeuseté. Sur un pan de mur était accrochée des dizaines d'outils de tortures divers et variés.

Pafnouti repéra alors un humain, torse nu avec un pantalon en guenille attachés sur un chevalet. Un homme d'une trentaine d'année aux cheveux brun avec une barbe épaisse et sale. L'homme était couvert de blessures et de marques de tortures et il semblait à peine conscient.

Je m'avance dans la salle sans faire de bruit, et cherche de quoi lui bander les yeux.
*ça va être compliqué, il va falloir être efficace sans être brutal, il risquerai de s'évanouir, ou mieux, de mourir, enfin ça va finir comme ça de toute façon, mais bon si il est là c'est qu'il est potentiellement une mine d'information, alors avant de le tuer, il faut que j'en tire le plus possible. Je ne connais rien de cet endroit et ma curiosité me pousse trop loin ... Il me permettra probablement d'en apprendre plus sur ce lieu et ceux qui y vivent. Et puis ça s'annonce amusant ...*

Pafnouti ne trouva aucuns morceau d'étoffe susceptible de servir de bandage.

Je ferme bien la porte puis je m'approche de lui et appuie légèrement sur une plaie pour voir sa réaction, cependant je prend garde à ne pas le faire s'évanouir.
"Que sais tu de cet endroit ?" dis-je d'une voix à la fois indifférente à sa douleur et autoritaire.