PAFNOUTI TCHEBYCHEV

En se dirigeant vers la forge, Pafnouti et le Prisonnier passèrent par la salle d'armes.

[Prisonnier]

-Mais ils ont des armes ici. Dit-il en s'approchant des râteliers. Il saisit alors une masse d'arme lourde et enfila un vieux plastron de cuir mal ajusté.

-Ca ne vaut pas mon arme et mon armure, mais au moins je ne serais pas désarmé si l'on croise quelque chose.

"Parfait allons y"
Je me dirige vers l'embranchement où j'avais pris à gauche.

Pafnouti et le Prisonnier se dirigèrent vers le carrefour à quatre tunnel.

En chemin, le prisonnier interrogea.

[Prisonnier]

-A propos, je ne sais pas comment tu t'appelles, c'est quoi ton nom ? Moi c'est Gilford, Gilford de Termylas, chevalier de Nerull.

"Pafnouti Tchebychev, prêtre de Nerull."
Dis-je froidement.

Gilford fut alors prit de surprise.

[Gilford]

-Pretre de Nerull ?! Mais alors... tu... vous venez du temple ?! Dans la montagne ?!

"En effet, c'est d'ailleurs pour cela que je vous ai libéré. Mais puis je savoir quelle relation entretenez vous avec les cultistes du temple ? Quelque chose de particulier vous ammène t il ? Ou est ce simplement un acte de foi ?"

[Gilford]

-Euh... en fait, je ne suis pas chevalier, mais j'aspire à le devenir. C'est pour cette raison que j'allais aux temple, afin de recevoir la bénédiction de Nerull.

Gilford se mit alors à genoux devant Pafnouti et baissa la tête avec soumission.

-Maitre Tchebychev, vous avez sauver ma vie, vous prêtre au service de Nerull. Dorénavant, ma vie vous appartient, acceptez moi comme chevalier, acceptez mon service et je deviendrais votre bras armé.

Je suis d'abord surpris par la tournure des événements, mais j'essaye de ne rien laisser paraître. À la simple pensée de ce chevalier, qui, premier d'une longue série, va me suivre dans mon entreprise, je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire machiavélique.
"Je t'accorde ma bénédiction. Lève toi chevalier ! Désormais tu servira sous mon commandement"

Gilford se releva.

[Gilford]

-Je vous remercie maitre, je vous servirais de mon mieux, ma vie vous appartient désormais. Cependant, je dois retrouver mon épée et mon armure, je ne pourrais pas vous servir dignement avec ce matériel minable.

"Bien, hâtons nous alors !"
Au carrefour je prends l'embranchement en face par rapport à la première fois où je suis arrivé.