Midona se mis en marche vers la forêt, toujours dans ses vêtements trempée. Elle arriva à la lisière du bois en quelques dizaines de minutes, frigorifiée par le léger vent qui soufflait sur ces plaines, et avec le début d'un rhume qu'elle marquait pas des reniflement bruyant et réguliers.
La forêt n'avait rien de particulier, simplement, aucuns sentiers bien délimité n'y pénétrait depuis ce coté.