SLY : CHAPITRE 3

Les serviteurs installèrent les plats sur la table et commencèrent à servir un par un les convives, en commençant bien sur par Sly. Un autre serviteur s'approcha de Sly en lui présentant une bouteille de vin blanc.

[Kaze]

-Installer une vrai milice plutôt que quelques gardes en patrouille renforcerait aussi la sécurité du village.

Je fait signe au serviteur de servir

-Pour les gardes en patrouille c'est sur que c'est une idée sur le cour terme, ils serons la le temps qu'on entraîne la milice et et construit un caserne et trouver l'endroit optimal où on pourra l’installer.

Le serviteur servit donc un verre de vin à chaque convive en commençant là aussi par Sly.

Une fois tout le monde servi, les serviteurs saluèrent et quittèrent la pièce.

[Sawao]

-Est-ce vraiment une bonne idée d'entretenir la faiblesse de ces gens ? Pourquoi utiliser des hommes pour les protéger alors qu'il suffirait de leur apprendre à se défendre seul.

Je commence à manger.

-Apprendre à combat c'est une chose, mais auté une vie sans remord c'en est une autre, et si toute les personnes au village a mon avis n'on pas tous les aptitude et les envie de combattre.

Une fois que Sly avait commencer le repas, toute la table fit de même.

[Sawao]

-S'ils n'ont pas le cran de tuer pour protéger leur vie et celle de leur proches, c'est leur problèmes. La prochaine fois qu'un groupe armé viendra les attaquer ils ne pourront s'en prendre qu'à leur lâcheté.

Le villageois à table semblait très choquer des paroles de Sawao.

[Felora]

-Tu es pourtant bien intervenu pour les aider tout à l'heure, qu'avait tu à y gagner ? A part pour protéger ces villageois ?

[Sawao]

-Je n'avais pas de raison de laisser faire ces croisés. De plus je ne prenais aucuns risques en m'opposant à eux. Mais je ne compte pas devenir le protecteur de ces villageois, ils doivent apprendre à se débrouiller seul, ils ne pourront pas toujours compter sur l'arrivée salvatrice d'un étranger ou de leur bon seigneur.

-Ce n'est pas village militaire remplit de soldat et de guerrier, il y a des bûcheron, des forgeron, des mineur, des fermier, des vendeur et bien d'autre rôle que chaqu'un à et le notre est de les protéger des dangers comme celle d'aujourd'hui.

[Sawao]

-Très bien, demandons à un intéresser. Quel est votre métier au sein de ce village ? Demanda-t-il au villageois.

[Villageois]

-M... Moi ? Je... je suis tailleur.

[Sawao]

-Et vous avez une famille ?

[Villageois]

-Euh... O... Oui, une femme et deux jeunes garçons.

[Sawao]

-Et donc, est-ce que le fait d'être tisserand vous exempt du devoir de protéger votre femme et vos enfants ?

Le villageois resta balbutiant, ne sachant que répondre à Sawao.

-Oui c'est vrais, tous Hommes doit protéger ça famille je te l’accorde, mais dans certaine cas un Homme ne peu pas le faire seul. Prend l'exemple des croisés de ce matin, n'importe quel villageois même entraîne n'aurais rien pu faire face à cette vingtaine d'ennemis et c'est la que ma mission commence. Je doit les protégé et faire en sorte qu'ils n'ont pas besoin de ce défendre contre ce genre d'attaques. Mais je sais ce que tu vas me dire, ça ne change pas le faite que si tous les villageois sauraient ce battre ils les auraient submerger pas le nombre, mais le soucie est que je ne vais pas forcé tous un village à ce transformer en un peuple guerrier. Et aussi avoir recoure à l'aide d'autre personne n'es pas un signe de faiblesse, mais je pence plus que c'est de la complémentarité qu'autre chose.

[Sawao]

-C'est un discours de faible. Le discours de quelqu'un qui à certainement combattu à mainte reprise mais qui s'en ai rarement sorti par ses seuls moyen. La vérité c'est que lors d'un combat vous ne pouvez compter que sur vous même.

[Christophe]

-A vous entendre parler vous semblez très sur de vous. A dire que vous ne preniez aucuns risque à affronter ce groupe de croisé vous avez l'air de croire qu'ils n'avaient aucunes chance de vous battre.

[Sawao]

-Je ne le crois pas je le sais. Ces vermisseaux n'avaient aucunes chance et si l'envie me prenait de moi même détruire ce village, personne ici ne pourrait m'en empêcher. Et à ce moment les villageois comprendrait leur erreur de se reposer sur la protection d'un seigneur.

[Kaze]

-C'est bien vindicatif, vous pensez peut être être l'homme le plus fort du monde ?

[Sawao]

-Absolument pas, mais au moins le jour où je mourrais contre plus fort que moi, je n'aurais personne sur qui rejeter ma faiblesse.

-C'est vrais et je ne le cache pas, si j'avais combattu seul à de nombreuse reprise j'y aurais laisser ma vie. Sans l'aide de Felora je ne serais sans doute plus vivant aujourd'hui, mais c'est aussi vrais dans son cas. Chaque individus a ces talents et ces faiblesses et c'est pour ça que les Hommes ce rassemble et collabore en semble, pour que les talents des un comble les faiblesse des autres.