EREDIR : CHAPITRE 2

L'icône était en fait une petite partie d'un dessins mural beaucoup plus grand. recouvrant presque le mur entièrement.

La peinture, représentait un petit salon avec des divans de velours et des tentures aux murs? Une petite table devant les divans portait cinq verres. Il-y-avait aussi une bibliothèque, au fond de la salle, qui contenait de nombreux livres.

Je soulève la tenture puis touche la totalité de la peinture à la recherche d'un secret ou quelque chose du genre, puis si je ne trouve rien je frappe d'un coup de pied le mur peint.

Fujin ne trouva rien de suspect sur le mur et alors qu'il allait frapper ce dernier il sentit son pouvoir le quitter et il reprit la forme d'Erédir. Il se sentait épuiser et essoufflé mais pas autant que lors de sa précédente transformation, il parvenait à rester debout sans problème.

Je m'assois quelques minutes le temps de reprendre mes esprits puis une fois rétablie je tente de frapper le mur d'un coup de pied où il y a la peinture

Le coup d'Erédir n'eut aucuns effet./ le mur ne bougea pas d'un pouce.

Je fouille le bureau et la table basse et en profite pour lire les papiers qui s'y trouvent.

Le bureau disposait de plusieurs tiroirs dont l'un fermé à clé.

La plupart des papiers n'avaient rien d'intéressant. Tantôt des menaces de mort à l'encontre de divers personnes, majoritairement des elfes, tantôt des récits sur des mythes et des légendes plus ou moins vérifiable.

Je regarde autour de moi et dans la pièce si la clé s'y trouve, sinon je force le tiroir pour l'ouivrir

Erédir ne trouva aucune clé. Il força le tiroir et réussit à en arracher la serrure dévoilant en même temps un mécanisme permettant de projeter une petite fléchette empoisonné sur quiconque tenterai de crocheter la serrure, mécanisme qui se brisa en même temps que la serrure.

*Eheh, la première fois que la force est supérieur à la finesse*

J'ouvre le tiroir et regarde ce qu'il y a à l’intérieur, et continu de faire attention au cas où il y aurai un deuxième piège.