Je suis né dans une ville humaine, Darromar, dans la région du Théthyr. Mes parents et toute notre race ont toujours été mal vu par les humains, au debut, juste les regards étaient menaçants, ensuites, des quartiers de la ville nous ont été interdit, jusqu’à nous enfermer dans un getto, avec les nains, les gnomes, demi-orques et même humain que le baron Chrisdal, dirigeant suprême de la ville, ne considerait pas loyal à lui-même. Ainsi, mon enfance a été marquée par la cohabitation avec les autres races et les railleries des humains libres. Nous vivions constamment dans l’espoir d’être pris comme domestique de ces humains afin de pouvoir vivre, nourrir ma famille.
142 ans après ma naissance, a vivre sous le joug des humains, a partager mes rations avec les demis-orques, alors que nous étions emmenés dans une mine hors de la ville avec d’autres de mes camarades, une flèche traversa la tête du chef de notre garde, a peine le corps du garde eut le temps de tomber qu’un groupe surgi des bois et commença à attaquer notre convoi, nos geolier tombaient un à un face à la ferocité de cet ecadron et alors qu’un garde, sentant que sa dernière heure fut venue essaya de me tuer, se retrouva décapité par un membre de l’escadron ayant effectué un saut perilleux au dessus de nous deux.
Après cette bataille, nos sauveurs enlevèrent leur capuches et se trouvèrent être des elfes, humains, demi-orques, gnomes. Ils se faisaient appelé les Naraën et d’après leur dires, ils étaient soit des anciens gardes de la ville ou j’étais né, s’étant éxilé car n'en pouvant plus de commetre des atrocités pour le baron, soit d’autre comme nous, libérés au fur et à mesure de leur raids et embuscades. Nous les suivîmes donc tous dans leur fôret, leur camp de base.
C’est dans ce camps que je fis la connaissance avec Valyë, l’elfe qui avait décapité le dernier humain et qui m’avait sauvé la vie, c’est elle qui me pris son sous aile pour m’apprendre les rudiments du combat, pendant de longs mois, elle me forma a l'art des danselames, on passa le plus clair de notre temps ensemble, a organiser des embuscades, a sauver des populations sous le joug du baron, au bout de nombreux combats, de periples passés ensemble, elle devint plus qu’une amis, nous devenions amant.
Alors que je rentrais un matin de la chasse avec mes compagnons d’armes, nous avons retrouver notre camps en ruine et une multitude de corps étalés dans un flôt de sang que la terre n'arrivait plus à boire, c'est aux milieu de ce ravage que je retrouvait le corps sans vie et ensanglanté de Valyë. Je rageais et pleuraient toutes les larmes que je pus, évacuant la rage et la tristesse. En fouillant les corps, nous comprîmes que le camp avait été attaqué par des hommes au service du baron Chrisdal, de violentes représailles pour nos actions contre sa tyrannie. C'est ainsi que je quittais mes compagnons d’armes, les Naraën, leur prommetant, moi, Laurian Naraën, de retrouver les assassins de Valyë et de defendre tout opprimés des plus cruels tyrans.